nietzsche le travail est la meilleure des polices
Rien, pour deux raisons. Doc-Plus, Partage de documents avec vos élèves, Afficher tous les articles de LeWebPédagogique, Métiers 360, la découverte des métiers en réalité virtuelle, Doc-Plus, Partage de documents avec vos élèves. Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Nietzsche: Le travail constitue la meilleure des polices. Ce document contient 2256 mots soit 5 pages. Non Léa, il ne se « contredit » pas! le texte suivant. Cela serait une inconséquence que Nietzsche ne se permet pas. Dans la glorification du travail, dans les infatigables discours sur la “bénédiction du travail’’, je vois la même arrière-pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel [...] on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir — (qu’) un tel travail constitue la meilleure des polices. Ce texte développe l’idée que le travail asagit l’homme et le maintien dans un état servile où celui-ci ne peut rien. Cette aide totalement rédigée en format pdf sera utile aux lycéens ou étudiants ayant un devoir à réaliser ou une leçon à approfondir en Philosophie. Ainsi, le travail … Car le travail est la « meilleure des polices » (Nietzsche) Pour assurer l’ordre et la sécurité, la police a trouvé son meilleur allié : le travail. Ce n’est pas l’âme qu’il faut étudier en premier, ce n’est pas la pensée qu’il faut étudier : il faut étudier la cause des causes de ce phénomène, qui en l’occurrence sont les instincts. Ainsi, pour Nietzsche ce qu’il faut étudier, ce qui doit être en premier objet de philosophie, c’est le corps. J. Hervier, Éd. Le « travailleur », justement, est devenu dangereux! travail; i l s'agit d'éviter une sanction, d'agir par habitude,de façon presque mécanique. Le monde fourmille d’« individus dangereux»! Le travail est la meilleure des polices. 7 sa philosophie ce sujet qu’il critique. Alors le travailleur, cesse d’être docile. Nous aborderons en premier lieu le travail laborieux, puis l'aliénation des hommes par ce dernier, et pour finir, le travail comme « la meilleure des polices ». Mais la règle générale est que le travailleur n’a pas la force de penser par lui-même ni de se dresser contre l’Etat. Ainsi, le besoin nous contraint à travailler dans la mesure où il ne peut être directement satisfait. Le travail permet de produirece qui est nécessaire à la satisfaction des besoins. Les apologistes du travail. Le monde fourmille d’« individus dangereux»! Ainsi, Nietzsche se contredit en affirmant que le travail est la meilleure des polices. La société de consommation qui impose un travail contraignant nous laissant peu de temps libre détourne l'individu des plaisirs authentiques. C. « Le travail est la meilleure des polices » (Nietzsche) Texte de Nietzsche « Dans la glorification du « travail », dans les infatigables discours sur la « bénédiction du travail », je vois la même arrière-pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la Et derrière eux, le danger des dangers – l’individuum! C'est dans « Aurore », dans un paragraphe intitulé « les apologistes du travail »,que Nietzsche déclare que le travail constitue la meilleure des polices.On connaît Nietzsche par ses attaques contre la religion et la morale, par sonprojet de création de nouvelles valeurs, mais on oublie souvent sa critique de lasociété de son temps, société du commerce, du travail, de ce l'on nommera «culture de masse ». Et puis! Le travail transforme l’esclave docile en dangeureux ‘individuum’ décrit ici. Le travail comblerait cette peur. Pour vous répondre plus sérieusement : Si le travail devient un but en lui-même, et non un moyen, il constitue la meilleure des polices et tient chacun en bride. Noton que, à l'heure actuelle, le travail ne produit plus directement les produits nécessaires à la … », Classe de Première (1re) – Spécialité: Humanités, Littérature et Philosophie (HLP), Dictionnaire d’anthropologie et d’ethnologie, Lexique de psychologie et de psychanalyse. Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire. Ah oui, nous faisons aussi : », Oui , c’est bien cela.. Le philosophe explique que le travail, qui caractérise l’activité lucrative effectuée chaque jour par Vhomme, sert de « police » pour l’homme car il s’agit d’un obstacle au éveloppement de l’individu sur un plan personnel et l’enferme dans la nécessité d’autrui. Puisqu’au faon même si dans un premier temps le travail asservit l’humain, il le fait prendre conscience, dans un deuxième temps, de son propre pouvoir. Q: "Le travail constitue la meilleure des polices" extrait de Aurore par F. Nietzsche. Car il consume une extraordinaire quantité de force nerveuse et la soustrait à la réflexion, à la méditation, à la rêverie, aux soucis, à l’amour et à la haine, il présente constamment à la vue un but mesquin et assure des satisfactions faciles et régulières. Pour Nietzsche, la valorisation de travail sert les interêts des représentants de l’Etat: « Dans la glorification du « travail », dans les infatigables discours sur la « bénédiction du travail », je vois la même arrière-pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel. On se rend maintenant très bien compte, à l'aspect du travail - c'est-à-dire de cette dure activité du matin au soir -, que c'est là la meilleure police, qu'elle tient chacun en bride et qu'elle s'entend à entraver vigoureusement le développement de la raison, des convoitises, des envies d'indépendance. Arendt, Le paradoxe de l’automatisation du travail (); Foucault, Le travail est une lutte contre la mort (); Hume, L’homme, conjonction de la faiblesse et du besoin (); Kojève, Le maître et l’esclave (); Lafargue, Pour un droit à la paresse (); Marx, Le royaume de la liberté (); Méda, La double aliénation (); Nietzsche, Le travail, la meilleure des polices () « Dans la glorification du « travail », dans les infatigables discours sur la « bénédiction du travail », je vois la même arrière‑pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel. Le « travailleur », justement, est devenu dangereux! La meilleure citation de Friedrich Nietzsche préférée des internautes. Nietzsche (Friedrich) Travail - Société - Sécurité Aurore, livre troisième ; aphorisme 173. Mais c'est aussi cette force qui peut être parfois utilisée par l'homme contre Au fond, on sent aujourd'hui, à la vue du travail - on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir -, qu'un tel travail constitue la meilleure des polices, qu'il tient chacun en bride et s'entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l'indépendance. Ces dernières phrases sont la continuité du discours, à la forme orale. Au fond, ce qu'on sent aujourd'hui, à la vue du travail - on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir -, qu'un tel travail constitue la meilleure des polices, qu'il tient chacun en bride et s'entend à entraver puissamment Nietzsche Le travail est la meilleure des polices Dans la glorification du “travail”, dans les infatigables discours sur la “bénédiction du travail”, je vois la même arrière-pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel. sécurité: et l’on adore aujourd’hui la sécurité comme la divinité suprême. selon nietzche les discours traduiraient une certaine peur de l’individu et de son libre développement. Dans la glorification du “ travail ”, dans les infatigables discours sur la “ bénédiction du travail ”, je vois la même arrière pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel. C. « Le travail est la meilleure des polices » (Nietzsche) Texte de Nietzsche « Dans la glorification du « travail », dans les infatigables discours sur la « bénédiction du travail », je vois la même arrière- Ainsi, Nietzsche se contredit en affirmant que le travail est la meilleure des polices. Ce qui invalide tout de même un peu la thèse de Nietzche (le travail ça ne fait pas tenir les gens si tranquilles…). Il est la meilleure des polices : une institution créée afin de dissuader les hommes à porter atteinte à l'ordre établi, un moyen de surveiller et discipliner les individus. Le travail est-il la meilleure des polices ? Analyse de l’aphorisme 372 est tiré du livre 5 du Gai Savoir de Nietzsche, NIETZSCHE: Tout mot devient immédiatement concept (commentaire), Nietzsche: Le criminel qui connaît tout lÂenchaînement des circonstances, Nietzsche: « Faut-il valoriser l’esprit de sacrifice ? Le travail, c'est l'utilisation des forces de l'homme, que ce soient des forces physiques ou intellectuelles. Télécharger le document Nietzsche: glorification du travail. « Dans la glorification du « travail », dans les infatigables discours sur la « bénédiction du travail », je vois la même arrière pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous :à savoir la peur de tout ce qui est individuel. Au fond, ce quon sent aujourdhui, à la vue du travail on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir -, quun tel travail constitue la meilleure des polices, quil tient chacun en bride et sentend à entraver puissamment le développement de la raison, des désir… Ci-dessous un extrait traitant le sujet : Nietzsche: glorification du travail Ce document contient 4613 mots soit 10 pages.Pour le télécharger en entier, envoyez-nous un de vos documents grâce à notre système d’échange gratuit de ressources numériques ou achetez-le pour la modique somme d’un euro symbolique. Je vourais également savoir d’où vient ‘Individuum’ et comment comprendre les dernières phrases du textes « Et puis! Nietzsche Friedrich [11] Le travail une nécessité un moyen de discipliner les peuples ? savoir la peur de tout ce qui est individuel. Nietzsche: Le travail constitue la meilleure des polices. Gallimard, coll. Nietzsche, le travail est la meilleure police « Dans la glorification du « travail », dans les infatigables discours sur la « bénédiction du travail », je vois la même arrière pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous :à savoir la peur de tout ce qui est individuel. Les personnes craindraient une instabilité sociale qui découlerait du libre développement des individus. Au fond, on sent aujourd’hui, à la vue du travail – on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir -, qu’un tel travail constitue la meilleure des polices, qu’il tient chacun en bride et s’entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance. Au fond, ce qu’on sent aujourd’hui, à la vue du travail – on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir -, qu’un tel travail constitue la meilleure des polices, qu’il tient chacun en bride et s’entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l’indépendance. épouvante ! N’est-ce pas ce que pensait quelque peu Hegel, dans la dialectique du maître et de l’esclave en affirmant que le travailleur devenait bien plus libre que son maître en mesurant l’effet de son travail sur la nature? épouvante ! Que vous inspire cette phrase ? Nietzsche estime que le choix d'un travail passionnant est le signe d'une individualité élevée. Est-ce bien cela? 173. Ce n'est plus alors le sentiment de la nécessité qui me pousse à travailler ,mais la "crainte du gendarme" ou. travail aliéné suppose une contrainte forte qui va jusqu'à transformer l'individu et le diminuer. Au fond, on sent aujourd'hui, à la vue du travail — on vise toujours sous ce nom le dur labeur du matin au soir —, qu'un tel travail constitue la meilleure des polices, qu'il tient chacun en bride et s'entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l'indépendance. Le travail a donc comme fonction d'être la meilleures des polices la meilleure car la plus efficace mais aussi la plus discrète et insidieuse : Nietzsche cependant refuse d'y voir un rôle bénéfique, nécessaire au bon fonctionnement de la société, car la rançon et la sécurité est trop lourde à payer. Idées, 1974, pp. C'est ce que montre Nietzsche dans l'extrait d'Aurore. La « glorification du travail » est, en soi paradoxale. Métiers 360, la découverte des métiers en réalité virtuelle - Nietzsche utilise des termes religieux comme glorification, louanges et bénédiction pour lever une contradiction, un paradoxe. Dans la glorification du « travail », dans les infatigables discours sur la « bénédiction » du travail, je vois la même arrière-pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est individuel. La première est, dans une certaine mesure, personnelle: je ne suis pas un grand fan de Nietzsche, avec ses aphorismes obscurs et sa prose décousue. Liste des citations de Friedrich Nietzsche classées par thématique. (Au.) 10 pages - 1,80 € Rousseau: La nature est-elle une entrave à la liberté humaine ? À l’image de Sarkozy qui nous appelle à « aimer le travail », Royal doit faire de la « défense de la valeur travail » le fil directeur de son prochain discours (qui sera le … Friedrich Nietzsche, Aurore (1880), livre III, trad. I'abrutissement du conditionnement==:> analyse marxiste de I'aliénation.-Nietzsche:"la meilleure des polices"? 181-182. : ceux qui travaillent pour le gain, attitude critiquable selon lui, et ceux qui travaillent par exigence intérieure, par plaisir. Nous sommes saisis par cet incident dans le temps: d’abord docile, qui y aurai cru, aujourd’hui, le travailleur s’émancipe. Ainsi, Nietzsche dans la lignée aristocratique pense que le travail est aliénant pour l’homme. Ainsi une société où l’on travaille dur en permanence aura davantage de Texte de Nietzsche : "Le travail est la meilleure des polices" Dans la glorification du « travail », dans les infatigables discours sur la « bénédiction du travail », je vois la même arrière-pensée que dans les louanges adressées aux actes impersonnels et utiles à tous : à savoir la peur de tout ce qui est … Puisqu’au faon même si dans un premier temps le travail asservit l’humain, il le fait prendre conscience, dans un deuxième temps, de son propre pouvoir. De la même façon, quand il écrit dans Par delà bien et mal que le sujet n’est rien d’autre qu’une forme nouvelle de la superstition de l’âme5, il ouvre une piste menant à une définition du sujet, à ce qu’il comprend sous ce terme. Retrouvez toutes les phrases célèbres de Friedrich Nietzsche parmi une sélection de + de 100 000 citations célèbres provenant d'ouvrages, d'interviews ou de discours.