Dearden s’attaquera à nouveau au problème racial dans SAPHIRE (OPERATION SCOTLAND YARD) s’en prenant aussi bien au racisme imprégnant toutes les classes de la société anglaise, moyenne (la famille de l’amoureux de Saphire), populaire (les délinquants trainant dans la rue, les loueuses de chambre ou d’appartement,), la police mais aussi la communauté noire, soit qu’elle nie le problème ou veuille le combattre avec les mêmes armes. Mais la mise en scène vigoureuse fait preuve d’une vitalité, d’une énergie qui rattrape ces manques, Losey utilisant admirablement les très nombreux extérieurs et dirigeant aussi bien le jeune garçon que Dean Stockwell dans LE PETITE GARCON AUX CHEVEUX VERTS. Comme l’écrit Benoir Vitkine dans le Monde : « Le résultat est un ouvrage inclassable. Je brûle d’envie de revoir le début si spectaculaire (les évasions de Valjean), la déchéance de Fantine (et le sublime travelling en carriole) arrière évoquant un bref moment de bonheur, les scènes avec Cosette qui laissaient passer une émotion que Freda a réprimé par la suite. Steven Soderbergh signe deux épisodes glaçants et contrôlés de main de maître, tandis qu’Alphonso Cuaron, déniché par Pollack, fait des débuts fracassants en dirigeant de main de maître une Laura Dern bouleversante. Xxx Tube Present - Amateur Handjob Honey Jerks It Slow Then Fast, Blondie hottie fills a glass with her pee and drinks it, Giant dildo in her pussy 187 LES LUMIÈRES DE LHOMME est une nouvelle réussite de Luc Beraud. En revanche, on remarque quelques idées surprenantes notamment cette voix off mystérieuse dite par une femme (fait assez rare dans un genre où ce sont des protagonistes masculins qui parlent, protagonistes ou narrateur) qu’on mettra du temps à identifier et cela donne une couleur insolite au récit. Françoise Navailh analyse très finement ce personnage d’ajusteur, réfutant les accusations de machisme et le replaçant dans les contexte des rapports hommes-femmes de l’époque. Il avait gardé des passages du livre que l’on coupe habituellement, notamment ce mensonge de la mère supérieure qui protège Valjean et Cosette. C’est l’époque où l’image d’une société égalitaire commence à s’effriter et à laisser place à un antagonisme entre les ouvriers, les travailleurs et les intellectuels, plus privilégiés, qui constituent une élite à laquelle Lioudmila aimerait appartenir en faisant un beau mariage. Visuellement, STRANGER paraît davantage en osmose avec tout un courant néo-réaliste (on pense souvent à De Santis, à Germi) qu’avec le film noir américain. » du colonel Nicholson dans la dernière séquence. Et d’ailleurs, le film tout à coup se resserre autour de la recherche d’une ancienne amoureuse d’un des héros, qui a disparu après un séjour en prison, et devient noir, accusateur, impitoyable. On a même droit à des recherches sur l’exploitation des films de Darrieux en Moselle soulignant qu’une œuvre pouvait être autorisée dans une ville et interdite dix kilomètres plus loin. Au Festival Lumière, j’avais revu avec un immense plaisir LE PONT DE LA RIVIÈRE KWAÏ, un des chefs d’œuvres de Lean et la copie restaurée mentionne bien les noms de Carl Foreman et Michael Wilson comme scénaristes (ils étaient sur la liste noire et l’Oscar fut décerné à Pierre Boulle qui ne parlait pas anglais, ce qui provoqua une polémique). Il s’agissait au départ de leur donner une éducation pour leur offrir une chance mais peu à peu l’entreprise se pervertit. Ce film paradoxal, est à la fois daté avec sa Chine en studio, ses seigneurs de la guerre incarnés par Woody Strode et l’impressionnant Mile Mazurki (qui fait la blague), son sujet peu en prise avec l’Amérique des années 60, qui revisite le très beau THE BITTER TEA OF GENERAL YEN de Capra, avec un regard décapant et anarchiste (On imagine guère comment on pouvait rêver à un quelconque succès) et contemporain (ou intemporel) de par sa morale, l’urgence dégraissée, rapide, concise de la narration, plus nerveuse que celle des CHEYENNES. Et une fois encore, comme si souvent chez Parrish, c’est une femme – la très craquante Joanne Dru, miracle de douceur sereine – qui va le rééduquer, lui apprendre à lire, à découvrir les autres (les parents d’élève). On peut le comparer avec SPÉCIALE PREMIÈRE, un des nombreux remakes, celui-là signé Billy Wilder dont je n’avais pas gardé un immense souvenir. Faites votre choix parmi les films, séries TV, reportages ou documentaires qui seront diffusés ce soir à la télé et concoctez-vous une soirée TV réussie ! C’est une des rares œuvres du cinéaste où il semble prendre parti contre l’injustice, la peine de mort, et la corruption politique. JOHNNY APPOLLO (zone 1 sous-titres français) est une autre réussite souvent oubliée, occultée, de Hathaway. Et, toujours chez Wild Side, TROIS FEMMES de Robert Altman. On a pu le lire dans un récent numéro de Positif. On l’a accusé de manière ignominieuse de ne parler des femmes qu’en termes de séduction, de beauté, ce qui est totalement faux. A deux trois reprises, le film frôle la mièvrerie (lors de la belle chanson, Aux marches du Palais, filmée de manière trop apprêtée avec un raccord de mouvement totalement raté), mais la contourne. Potemkine vient de sortir le très méconnu MOSCOU NE CROIT PAS AUX LARMES de Vladimir Menshov, pourtant Oscar du meilleur film étranger en 1979. Dans la première, qui se déroule en 1958 dans l’U.R.S.S. HIS GIRL FRIDAY (coffret Editions Montparnasse), une des sommets de Hawks, vous entraîne dans tourbillon implacable. On sort de MIRACLE rompu, exténué, notamment après le très long plan séquence dans la salle à manger. Nous étions un peu trop condescendants dans 50 ANS, ce qui a été corrigé. Signalons aussi l’indispensable coffret consacré aux FORBANS DE LA NUIT par Wild Side qui nous permet de découvrir la version anglais de ce film où de nombreuses scènes sont tournées sous un autre angle et avec un un dialogue différent. Rien de misogyne dans cette description même si parfois on craint que le propos déplaise aux adeptes de MeToo. Un couple qui s’embrasse dans la rue se fait rappeler à l’ordre par des représentants du pouvoir, la propagande dans les usines cherche à donner une vision idyllique du monde du travail et l’incompréhension règne entre ancienne et nouvelle générations. Si Katia qui est ajusteuse monteuse s’implique beaucoup dans son travail, Lioudmila, elle, se montre plus arriviste et ne craint pas de mentir sur sa condition pour essayer de séduire un homme riche qui la sortira de sa vie terne et pauvre en promesses. Beaucoup de films dirigés par Dmytryk à cette époque contiennent de vraies qualités visuelles, un découpage dynamique, y compris CROSSFIRE avec son interprétation magistrale. Film complexe, épique, d’une folle invention scénaristique (toujours Age et Scarpelli ainsi que Sonego) et visuelle avec une des interprétations les plus géniales, dieu sait s’il y en a, d’Alberto Sordi. My immigration story is being made into something bigger than it needs to be. Le FSB a lancé une énorme machine qui ne peut plus s’arrêter et qui se nourrit de ses propres divagations. DANIELLE DARRIEUX OU LA TRAVERSÉE D’UN SIÈCLE (Presse universitaire de Bordeaux). White redhead milf getting oiled & banged. Emploi Tourisme - Les offres d'emploi de l'industrie du tourisme - Loisirs - Affaires - MICE - L'Echo Touristique - Deplacementspros.com - Tom.Travel La plupart des accusations sont absurdes et seront démolies pendant l’enquête sans que cela ne fasse changer l’accusation. Ce qui n’est pas le cas du film avec Stewart. Christian Jaque parvient à créer un climat envoûtant, oppressant, et Prévert, très inspiré, signe un dialogue souvent mémorable. Three Chinese Girls Trample And Force a Guy to Worship their Feet Plowing anal With This homosexual couple Linda Lay and Gabby Vega cum swapping at the party Sex . La vision de la police semble un peu trop apologétique mais le ton se durcit par la suite et l’on est touché par la pudeur, la sobriété si retenue de plusieurs séquences (un jeune policier doit faire part de la mort d’un de ses collègues à sa femme qui est aussi sa logeuse) qui contrastent avec les éclats de violence, notamment du truand névrosé que joue Dirk Bogarde, par le choix brillant de certains extérieures (l’étang où une petite fille qui ne sait dire que non a trouvé un révolver), l’intelligence du dialogue (l’interrogatoire de cette petite fille). Bonne occasion de comparer les deux. L’humanisme qui s’en dégage, la manière dont il filme les personnages de femmes, les histoires d’amour m’ont encore plus touché et j’ai trouvé par exemple IN THE FRENCH STYLE, dans ses deux derniers tiers, poignant, sensible et si peu moralisateur. Gaumont vient de ressortir en Blu-ray le bouleversant LE PETIT PRINCE A DIT de Christine Pascal. Auteur de nombreuses pièces pour le théâtre et la télévision qui se passent toutes dans le sud ou sud ouest du Texas, autour de la ville de Wharton, l’équivalent du comté de Yoknapatawpha pour Faulkner. En revoyant APPELEZ NORD 777, outre la magistrale utilisation des extérieurs et la splendide photo de Joe MacDonald, le grand complice de Hathaway, j’ai été frappé par la sophistication, l’intelligence du récit qui offre plusieurs niveaux de lecture. PANIQUE DANS LA RUE est pour moi le meilleur Kazan de la première époque avec LE LYS DE BROOKLYN. Le scénario s’inspire d’un sujet de Solinas (MONSIEUR KLEIN, ETAT DE SIÈGE) et se veut ouvertement politique. Coogler ne veut pas faire une œuvre à thèse où tout soit donné avant que d’être montré. Je renvoie au texte de 50 ANS de Cinéma américain. Tout le reste est parfait. Quand Richard Conte met fin à l’accord qui le lie avec le journal, le propos bascule et Stewart se retrouve synchrone avec la mise en scène de Hathaway. En fait, il avait été sauvé par la sortie à New York et à Paris. THE VERDICT (zone 1 sans sous-titres), première réalisation de Don Siegel, est une brillante réussite. Une comédie sarcastique truffée de plans, d’interruptions tragiques, noires, violentes : la séquence où l’on découvre que le camion de Sordi transporte de la farine est inoubliable. Brunette amateur rides a fat cock in a backseat Asian beauty enjoys filming her masturbation on camera We have at least 340 galleries from Spring Thomas Big bottomed brunette Jessyka Swan gives deepthroat blowjob Busty Blonde MILF Shared With Friend Yana easy going teenage blonde gets balls in the asshole clip Another scheming stacked MILF moans away as her cunt … Il se déroule dans ce trou noir de l’histoire italienne (très bien analysé dans les bonus) entre la démission de Mussolini et son rétablissement comme une marionnette des Allemands, dans un moment où tout le monde se bat contre tout le monde. En partant du Blu-ray, j’ai pu, sinon reconstituer la construction, du moins identifier le vrai début du film, exercice très marrant. Richard Cœur de Lion est une brute sanguinaire, assoiffé de lucre, un sociopathe qui change d’idée constamment et massacre tout le monde autour de lui. Hot naked teen - 811. PLUS RÉCENT Le constat est accablant sans qu’il soit besoin de le charger. Il faut découvrir cette œuvre méconnue. POUR CÉLÉBRER RICHARD LESTER Toujours chez Tamasa, L’HOMME DE BERLIN qui a ses défenseurs. Dans ce quasi chef d’œuvre, si bien éclairé et décoré, on ne peut que regretter un décor de montagne en studio. C’est très amusant et définitif sur la question. Partant de constatations techniques précises et justes, Beraud jette un regard neuf sur la pratique du cinéma et son histoire. MADELEINE, malgré des vertus évidentes (le choix de Glasgow et plusieurs séquences très fortes, dont le début), reste moins satisfaisant. Mais on y apprend cent mille choses, sur l’évolution du scénario, les différentes versions, les changements amenés par Lautner durant le tournage. Il est enfin possible de voir en Blu-ray chez Rimini ce chef d’œuvre qu’est LA GRANDE PAGAILLE de Luigi Comencini qu’adorait Jean-Pierre Melville. Et qui veut le récupérer 6 ans après d’une manière assez hystérique et égoïste. Cette autopsie d’un mariage qui mêle ironie, tendresse et amertume gagne à chaque vision. Sexy lesbian babes throw a party that spirals out of control Twink fucking his associate spraying cum on his chest HDVC401-sextermedia-full Brunette milf blows and gets fucked each which way on a beach . L’association Kazan/Budd Schulberg donne lieu à un film qui est aux antipodes de SUR LES QUAIS et qui prend une force encore plus grande avec l’élection et la personnalité de Donald Trump. Elle lui a pourri la vie pendant deux décades (quelles que soient ses erreurs, qu’elle devrait partager, et ses décisions imprudentes), en a fait un paria même si deux jugements l’ont blanchi. Ce qui déstabilise encore plus sa malheureuse épouse. Avec une folle audace, Patricia Mazuy fait parler ses enfants en dialecte de la Basse Normandie à qui le français paraît une langue étrangère. Tous les autres sont à louer notamment Madeleine Robinson et Sinoel, hilarant en vieille femme. J’ajouterai le WEEK END de Godard qui est plus rare et que je vais revoir. Rien ne semble avoir changé sinon que les accusations sont plus insidieuses. En partant de faits très concrets, il parvient tout d’abord à tracer un portrait attachant de Pierre Lhomme, à faire revivre sa carrière de chef opérateur en nous donnant mille renseignements précieux indispensables, puis, élargissant le propos nous fait réfléchir sur la pratique du cinéma, les rapports entre l’image, le cadre et le sens. En attendant ANGELINA et peut-être LA BELLE ROMAINE ? La scène finale, avec une fastueuse dernière réplique, bat tous les records de concision elliptique. Certaines séquences sont traitées avec un humour elliptique, une rapidité narrative qui évoque CRY DANGER (les meurtres commis par Michael Caine, la mort de James Mason pendant que l’orchestre joue « Round Midnight », où Parrish se sert de la danse pour chorégraphier cette exécution, laquelle se déroule durant une cérémonie dénonçant la pollution à Marseille (déjà). Elle s’empare de la pellicule et impose sans effort un tragique quotidien. Ces temps-ci, j’ai eu envie de me plonger à nouveau dans les films de Robert Parrish. Miss France: combien rapporte le générique chaque année à son créateur. Interprétation remarquable de Flora Robson, Mildred Dunnock, Eddie Albert. Katia, Lioudmila et Antonina, malgré leurs différences de tempérament, ont en commun le rêve d’une vie meilleure et des aspirations amoureuses qui prennent une grande place dans leurs existences. Il se situe dans l’avant-avant-dernier chapitre et démarrait avec cette énigmatique collision entre deux bateaux dans le brouillard, mieux montée. Les pouvoirs extraordinaires du corps humain, Femmes du Nord : quand la vie est un combat, Pékin Express : sur les pistes de la terre rouge, Alvin et les Chipmunks : à fond la caisse, un accès à la grille du programme tv du jour, «Les Marseillais»: la téléréalité de W9 implose pour une délirante histoire de sorcellerie, «Et si on se rencontrait?»: M6 s’intéresse aux relations virtuelles dans une nouvelle émission de dating, «Je n’ai pas pris de drogues»: Loana sort de son silence et annonce porter plainte contre Sylvie Ortega Munos, Olivier Delacroix, homme engagé aux côtés des femmes en danger, C8: Benjamin Castaldi aux commandes du «6 à 7 avec Casta» en remplacement d’«À prendre ou à laisser». Dans les deux cas, les institutions françaises (pas les individus ni quelques journalistes) réagissent avec une frilosité (et dans le cas de Pierucci, une complicité) pitoyable. Elle détestait le peuple, vénérait de manière abstraite la vie de famille, était horriblement jalouse des femmes qu’il avait connues avant elle. Dans le bonus du film, il parle d’un gros différend et ensuite d’une entente. Exotic hottie Jane stripping and stroking off in kitchen Aj Irons Grapples With The Hugegest Cock He Has Ever Seen Before Hung ladyboy shaves cock and jerks off No Thing more excellent to do on a vacation home from the University of California - Santa Cruz to the rents … Je n’avais pas assez vanté les acteurs de MOSCOU, à commencer par l’héroïne, comédienne de théâtre et par ailleurs l’épouse du réalisateur Vladimir Menshov : Vera Alentova que son mari choisit parce que les autres comédiennes pressenties avaient toutes refusé. J’ai dit maintes et maintes fois mon admiration éperdue pour FUREUR APACHE, l’un des plus grands westerns des années 70. On l’a surnommé le Tchekhov américain tant les conflits sont souvent traités en filigrane, comme murmurés. Le film est à ranger à coté de la GRANDE GUERRE, DES CAMARADES, D’UNE VIE DIFFICILE parmi les chefs d’œuvre historiques du cinéma italien. J'essaierai de donner le maximum de renseignements. Puis le téléphone réveillait le docteur que l’on accompagnait. Je voulais juste signaler que le DVD d’Elephant, on peut voir les deux montages, celui d’Aldrich et celui de Lancaster. Tout cela restera comme un témoignage accablant sur la lâcheté d’une partie de la presse et d’une opinion qui se complaît dans les rumeurs plutôt que dans les faits. Doriane a eu la bonne idée de sortir un film qui avait disparu de la circulation depuis des années, LA VOLEUSE de Jean Chapot, restauré en 4K, récit austère, douloureux du combat que mène une femme pour récupérer l’enfant qu’elle avait abandonné quelques semaines après sa naissance. Lester et son scénariste rendent le gouvernement anglais responsable des actions terroristes. Pendant au moins 20 minutes, on ne voyait que Lemmon, et Mitchum n’apparaissait que quand on lui fait quitter le combat de coqs et qu’il lance à Rita Hayworth, « je pars en ballade », ce qui lui faisait une très bonne introduction, très Mitchum. Nerdy Fact #1850: There is a “What if” story in which The Punisher’s family was never killed in the park. » 7 WOMEN, le chant du cygne si personnel, si loin de toutes les modes, de Ford n’est disponible que dans un DVD espagnol (le mien souffre de défauts de synchronisme dans la VO) de qualité correcte avec un petit bonus où on voir Ford examinant son décor avec son chef opérateur. SAN FRANCISCO STORY (zone 1) revu dans une copie médiocre comprend un bon nombre de détails marrants, d’échanges très bien écrits par William Bowers (non crédité). Dans APPELEZ NORD 777, Stewart vient annoncer à la vieille femme de ménage que le journal ne la soutient plus. STRANGER ON THE PROWL (Olive, zone 1 sans sous-titres) était sorti en France sous le titre UN HOMME À DETRUIRE et signé Andrea Forzano. Excellent bonus de Fred Mercier. LES GENS DE DUBLIN me bouleverse chaque fois davantage quand je le revois. Création époustouflante de Lee Remick qui crève l’écran. Le ton est caustique, acerbe mais jamais condescendant. Le scénario patine parfois, l’affrontement final paraît trop étiré pour une issue prévisible et certains rebondissements trop fabriqués renvoient à ces films noirs français qui semblent solliciter le Destin.