Le thème de la surprise de l’amour, central chez Marivaux, permet le rire mais véhicule aussi la critique sociale d’une société fondée sur le rang et l’apparence. Texte officiel. Pour aller plus loin . Je trouve que ce devoir est très complet, merci pour vos lectures analytiques.Je poste ce commentaire car j’ai appris qu’il y’avait également le champ lexical de la raison entre les lignes 26 et 39. » Vous direz à Dubois qu’il la lui porte. Marivaux dénonce ainsi ironiquement une société inégalitaire qui n’est pas fondée sur le mérite. II.djvu Marivaux - … / Comment Araminte excelle-t-elle dans l’art de la fausse confidence. L’incapacité de Dorante à trouver du papier (« Madame, je ne trouve point de papier.« ) illustre sa confusion et a un effet comique : elle réduit l’intendant rigoureux au rang d’incapable valet. Sa maîtrise du langage n’est plus. » . » La menteuse semble démasquée par son amant ce qui crée une scène en forme de chiasme comique car celui qui devait être piégé a décelé le piège. 2 Pages • 1022 Vues. Commentaire : Les Fausses Confidences, Marivaux, Acte II scène 15 Les Fausses Confidences est une comédie en trois actes écrite par le dramaturge Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, en 1937. Changer ). ( Déconnexion / Qu’est-ce que cela signifie ? Dans cette scène elle semontre froide et cruelle car elle fait croire à Dorante qu'elle va épouser le Comte et … 1 (No 3) 2 3 5 (Acte I, scène 6), mais n’aurait pas pensé à l’amour. Dans la scène 13 de l’acte II, les deux amants ne se sont pas encore révélés leurs sentiments. L’expression « le petit mot » est une litote cruelle car cette lettre ravage intérieurement Dorante. Dans cette comédie d'intrigue, Dubois devient un véritable stratège. Dans cette scène à la fois comique et galante, la fausse confidence d’Araminte suscite chez Dorante un trouble révélateur de son amour pour elle. Dubois ne m’a averti de rien. « …qu’elle rend à votre mérite la détermine. Cette adresse-là n’est presque pas lisible. À quoi rêvez-vous ? Le vocabulaire employé est significatif d’une décision irrévocable : « je suis déterminée » (l 1), « résolue » (l 2) et participe à la dureté d’Araminte. L’impératif « Hâtez-vous » vise à inciter Dorante à se révéler. Dorante désespère en aparté : « Ciel ! Il souffre, mais il ne dit mot. Ciel ! Il est observable qu’un bon nombre de ses phrases sont averbales : « Déterminée, Madame » (l 2), « Quelle différence pour moi, Madame. Texte integral des fausses confidences de Marivaux. Nous pouvons noter qu’Araminte est le sujet de la phrase tandis que Dorante est relégué au rang de complément d’objet indirect. La lettre dictée par Araminte est savoureuse pour le spectateur car elle a un double sens : « Hâtez-vous de venir […] votre mariage est sûr… ». » Je crois que la main vous tremble ; vous paraissez changé. « Hâtez-vous de venir, monsieur ; votre mariage est sûr… » Avez-vous écrit ? « Non, monsieur, je suis chargé de sa part de vous assurer que la seule justice qu’elle rend à votre mérite la détermine. Araminte rejette de nouveau les contestations de Dorante : « Achevez, vous dis-je… » Sa répétition témoigne de son inflexibilité tout en créant une connivence avec le spectateur qui, lui, démêle la situation. DUBOIS __ Vous êtes bien assuré qu'Arlequin ne connaît pas ce quartier-là ? » (l 28-29) Le rythme s’accélère grâce à l’asyndète et le spectateur se délecte du jeu d’Araminte. Mais Araminte écarte la remarque sèchement par l’impératif « achevez » qui joue encore sur un double sens : Dorante doit achever la lettre, mais c’est le cœur de Dorante qu’Araminte achève. Une mise en abîme, est alors observable, procédé déjà utilisé par Marivaux dans L’île des esclaves, dans la mesure où une scène de comédie s’invite dans une pièce comique, Le double jeu est observable tout au long de la scène et ce grâce aux apartés. Celui-ci, infortuné, se fait aider … », Dorante répond totalement à côté comme s’il s’agissait d’une question totale : « Oui, Madame. La dernière phrase évoque Dubois : « Dubois ne m’a averti de rien » . La portée du titre de l'oeuvre - En quoi permet-il de comprendre les véritables enjeux de la pièce ?Bac 2021 Par un nouvel impératif, Araminte bouscule son intendant pétrifié : « Écrivez. Dorante semble faible. La scène 2 de l’acte II, alors que M. Remy veut que son neveu renonce à sa place d’intendant pour accepter un riche mariage – nouvelle manœuvre de Dubois – lui permet de mesurer la sincérité de l’amour de Dorante pour elle, puisqu’il refuse avec force : « Il me touche tant qu’il faut que je m’en aille », sonne déjà comme un aveu, une victoire pour Dubois. Le maladroit Arlequin ouvre la pièce sur la thématique de la conversation, attirant ainsi sur le mode comique l'attention du spectateur sur ce sujet. Il est observable qu’un bon nombre de ses phrases sont, La souffrance de Dorante, parce qu’il ne faut pas oublier que, Dans cette scène, la comédie se fait un peu plus sombre. Araminte l’interpelle, lui imposant son rythme, et l’interroge : « À quoi rêvez-vous ? L’adjectif de la didascalie (« Dorante reste rêveur ») pouvait avoir au XVIIIe le sens fort d’« ému ». je suis perdu ! Écrivez. Voici une analyse linéaire de l’acte I scène 2 des Fausses Confidences (1737) de Marivaux, à partir de « Dorante : cette femme-ci a un rang dans le monde » jusqu’à la fin de la scène.. Les Fausses Confidences, acte I scène 2, introduction. Présence des personnages parlants par scène dans LES FAUSSES CONFIDENCES de MARIVAUX (1738) Cliquez sur les entêtes de colonnes pour effectuer des tris. Dorante décèle finalement le stratagème amoureux : « Ne serait-ce point aussi pour m’éprouver ? ♦ Les Fausses confidences, acte III scène 1 » à « Tâchez que Marton prenne un peu de goût pour vous. Elle cherche à obtenir de lui des aveux ; c’est pourquoi elle le met à l’épreuve en lui faisant croire qu’elle veut épouser le comte Dormont avec lequel elle est en procès. La didascalie témoigne de l’« air délibéré » d’Araminte, qui affecte à l’égard de Dorante une détermination indifférente. La fausse confidence est allée trop loin, peut-être est-ce pour cela qu’Araminte déclare : « Le cœur me bat ! [Araminte met à l'épreuve son jeune intendant, Dorante, dont elle sait qu'il est amoureux d'elle et qui, suivant les conseils de son valet Dubois, ne lui a pas avoué son amour.] La comédie reprend alors ses droits et les répliques de la jeune femme prêtent à sourire : « Je crois que la main vous tremble! Nous découvrons une Araminte sévère et implacable. À la scène 13 de l’acte II, Araminte redouble ses fausses confidences en déclarant qu’elle veut épouser le comte. — [...] toute réflexion faite, je suis déterminée à épouser le Comte. Elle joue à être elle-même troublée, mais le spectateur peut deviner que Dorante la trouble véritablement. Comment trouver un plan de dissertation ? je suis perdu. Vous trouvez-vous mal ? » (l 21) « Quoi ! Pourtant, elle a conscience du trouble du jeune homme dès les premiers instants de leur échange : « Il change de couleur » (l 4) « Il ne sait ce qu’il fait » (l 13).Elle finit même par s’amuser de voir l’égarement de Dorante. Je crée des formations en ligne sur commentairecompose.fr depuis 9 ans. (Haut.) Nous verrons comment, dans cette scène à la fois comique et galante, la fausse confidence d’Araminte suscite chez Dorante un trouble révélateur de son amour pour elle. Si les personnages se mentent, ils se disent toutefois la vérité lorsqu’ils se parlent à eux-mêmes. Texte établi par Émile Faguet, Nelson. Ce décalage suscite un effet comique. Texte : MARIVAUX, Les Fausses Confidences, acte II, scène 13 (1737) ARAMINTE Toute réflexion faite, je suis déterminée à épouser le Comte. ♦ Les Fausses confidences, acte I scène 2 si subitement ! Néanmoins, la dernière réplique de Dorante montre un ressaisissement comme s’il se souvenait qu’il est au théâtre : « Ne serait-ce point aussi pour m’éprouver ? La conversation : codes sociaux et révélation des êtres dans Les Fausses Confidences Etrange première scène déceptive puisque le dialogue proposé par Arlequin y est refusé par Dorante. Il est avance sur les personnages grâce à la, Face à la détermination d’Araminte, Dorante perd ses moyens et sa faiblesse est perceptible dans l’usage qu’il va faire de la parole. Il s’agit alors de provoquer Dorante, de l’obliger à se découvrir. C’est sur ce coup de théâtre que s’ouvre notre extrait. » Les paroles adressées à Dorante semblent être prononcées par une femme sûre d’elle et inflexible tandis que les mots formulés à part traduisent ses doutes et ses incertitudes. Toutefois, elle initie une inversion des rôles, dans le passage qui fait l’objet de notre étude, puisqu’elle devient celle qui manipule et qui manie l’art du mentir-vrai : mentir car elle fait croire qu’elle va épouser le comte, vrai car elle fait naître le mensonge espérant que la vérité, à savoir que Dorante l’aime, voit le jour. ». Le personnage amoureux qu’est Araminte se montre d’une grande cruauté et inflige à celui qu’il aime une réelle souffrance psychologique, c’est ce que nous étudierons plus précisément dans notre deuxième axe. Voici une analyse linéaire de l’ acte II scène 13 des Fausses confidences de Marivaux. 2011-2021 - Amélie Vioux - Droits d'auteur réservés - Tous les articles sont protégés AVANT publication - Reproduction sur le WEB interdite - Mentions légales -, Commande ton livre 2021 en cliquant ici ↓. Acte II, scène 13 : Araminte et la fausse lettre Acte III, scène 8 : la fausse lettre de Dorante Acte III, scène 12 : l’aveu d’Araminte BEZACE Didier, « Propos sur sa mise en scène des Fausses confidences en 2010. Dans cette scène, la comédie se fait un peu plus sombre. Il est avance sur les personnages grâce à la double énonciation (la parole d’un personnage dépend de deux énonciateurs : le personnage s’adresse à un autre personnage (ou à plusieurs autres personnages) et, dans le même temps, il s’adresse au public) Il sait qu’Araminte joue la comédie à Dorante pour le pousser aux aveux et il est son complice. (À part.) Edition du texte cité en titre. » (l 27) révèle un désespoir certain qui attriste le public. Dorante est troublé comme l’indique l’interrogation (« Et pour qui, madame ? L‘aparté « Le coeur me bat » fait connaître son trouble au spectateur. Les stichomythies, présentes des lignes 12 à 20, renforcent cette dimension comique. Commentaire de l'acte I, scène 2 de la pièce de théâtre Dom Juan de Molière. Acte I, scène 2 Dubois rejoint Dorante discrètement. « Votre mariage est sûr ; madame veut que je vous l’écrive, et vous attend pour vous le dire. Pour le comte, qui est sorti d’ici extrêmement inquiet, et que je vais surprendre bien agréablement par le petit mot que vous allez lui écrire en mon nom. ». » (l 34). Qu’est-ce que cela signifie ? Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com. Du langage des mots au langage du corps, du texte à la scène, du verbe au jeu : Les Fausses Confidences constituent un champ d’investigation particulièrement riche pour se pencher sur les facteurs de déclenchement du sentiment amoureux, et sur les enjeux de la mise en scène. ». », répond « Oui, Madame » comme si on lui avait posé une question fermée. Dans une deuxième partie, de « Je vous ai assuré » à « trouvez-vous mal ? Texte 1 DOM Juan, Molière, Acte 1,scène 2 Dom Juan (1622-1673) est une tragi-comédie écrite en 1665 par Molière, inspirée du mythe créé par l’Espagnol Tirso de Molina. » révèle sa peur de ne pas obtenir les aveux de Dorante. L’amour et moi nous ferons le reste. ♦ Les Fausses confidences, acte III scène 12 Araminte évoque le « procès douteux » qui l’oppose au Comte. Marivaux, amoureux des jeux de masques, en place un sur le visage d’Araminte qui excelle dans l’art de la cruauté. Mise en abyme, théâtralité, distanciation et dénégation dans Les Fausses Confidences Vol. La didascalie qui précisait la manière dont Araminte s’adressait à Dorante : « d’un ton doux », au début de la scène s’efface au profit d’une rigidité évidente. Ecrit du bac de français. Tu passes le bac de français ? ». La surdité de Dorante semble confirmer à Araminte son amour : « (À part.) Il n’y en aura aucune. Questions de grammaire, exemples corrigés-Découvrez ce que vous devez retenir du parcours "Théâtre et Stratagème". Les tremblements de son écriture soulignés par Araminte : « Voilà qui est écrit tout de travers ! Pliez la lettre et mettez : « À Monsieur le comte Dorimont. Araminte jouit avec cruauté de ce stratagème amoureux, et commente : « Il ne sait ce qu’il fait ». ( Déconnexion / Texte A - Marivaux : Les Fausses confidences (1737), acte II, scène 13. Vous paraissez changé. Il s’empare donc avec espoir de cette justification. L’antithèse « agréablement » / « inquiet », qui évoque les sentiments du Comte crée un effet comique car elle reflète aussi la succession d’émotions qu’éprouve Dorante à cette nouvelle. Je vous ai assuré que vous le gagneriez, madame. Elle cherche à obtenir de lui des aveux ; c’est pourquoi elle le met à l’épreuve en lui faisant croire qu’elle veut épouser le comte Dormont avec lequel elle est en procès. Le véritable gagnant de cette scène est indéniablement le spectateur qui savoure, assis sur la même rangée de sièges que l’auteur, le pouvoir qui est le sien expliquant sans nul doute la formule utilisée par Joseph Fleury en 1881 à propos des, LA N°12 / S / Acte II, scène 13, Les Fausses Confidences, Marivaux, Explication Linéaire : Acte I, scène 14, Les Fausses Confidences, Marivaux, Dissertation semi rédigée sur Les Fables de La Fontaine, Explication linéaire : « La dent d’or », Fontenelle, Explication linéaire n°9. Araminte sait, depuis la vraie fausse confidence de Dubois à l’acte I scène 14, que Dorante est amoureux d’elle. RESUME –LES FAUSSES CONFIDENCES, MARIVAUX (1737) ACTE I Acte I, scène 1 Arlequin fait entrer Dorante dans les appartements de Marton. Ne vous embarrassez pas, et écrivez le billet que je vais vous dicter ; il y a tout ce qu’il faut sur cette table. Il s’agit bien d’une nouvelle scène de fausse confidence : Araminte ment en confiant son projet de mariage, afin de démêler les sentiments qu’éprouve Dorante pour elle. Accéder au commentaire de texte : Commentaire : Marivaux : Acte II scène 13. L’épouser constituerait donc bien une promotion sociale pour Dorante. Marivaux nous montre que la fausse confidence peut être source de tourment. La souffrance de Dorante, parce qu’il ne faut pas oublier que Les Fausses Confidences sont une comédie, fait rire le spectateur. Il émet une timide opposition à cette improbable union entre Araminte et le comte introduite par la conjonction de coordination « mais » : «Mais, Madame, vous n’aviez aucune inclination pour lui. Il y a une transgression de la loi de pertinence (qui veut que l’on réponde pertinemment à la question qui nous est posée) et cette infraction est source d’humour lequel fait contrepoint au caractère pathétique de l’épreuve vécue par Dorante. Pour des raisons pédagogiques et pour m'aider à mieux comprendre ton message, il est important de soigner la rédaction de ton commentaire. Cependant, la comédie est au rendez-vous et nous rions de la faiblesse de Dorante. Marivaux, Les Fausses Confidences, acte II, scène 13 - Annale corrigée de Français Première Générale sur Annabac.com, site de référence. Celle-ci est partie chez Araminte. Il se donne ainsi le beau rôle, éloigne les soupçons de collusion et conforte indirectement les compliments de son ancien serviteur. Problématiques possibles : Ainsi, nous allons nous demander en quoi cette scène montre-t-elle la complexité de l’humour marivaldien ? La scène peut sembler pathétique. Son ancien valet : Dubois, désormais au service d’Araminte, va avoir recours à mille et une manigances pour que l’amour triomphe. Il souffre, mais il ne dit mot ; est-ce qu’il ne parlera pas ? Malgré le trouble certain de Dorante, elle estime que son procédé a échoué comme l’exprime la négation partielle : « Il n‘y a pas encore là de quoi le convaincre. » (l 32-33) concourent à le peindre dans une délicate posture. Oeuvre dont est tiré le titre : Les Fausses confidences. Un autre point est à considérer. (21) … Dubois m’a trompé« . Les fausses confidences vont se multiplier au cours de cette comédie sentimentale en trois actes afin que la vérité du cœur s’exprime donnant du sens à la formule d’Aragon : le « mentir-vrai ». Marivaux nous montre que la fausse confidence peut être source de tourment. I. Raisons et manifestations de la faiblesse de Dorante Amoureux conventionnel mais qui se présente sous … Extrait texte du document: « Les fausses confidences, acte II, scène 13, Marivaux Introduction En 1737, Marivaux fait représenter pour la première fois une comédie intitulée Les Fausses Confidences.Le titre est programmatique : après un ballet tourbillonnant de faux- semblants et de fausses déclarations, les personnages de cette pièce finissent par s’avouer leur amour et … Dans la scène précédente, Araminte confie à Dubois à propos de Dorante : « j’ai envie de lui tendre un piège. Une collection coordonnée par le CRDP de l’académie de Paris. Vous n’en trouvez point ! Elle tente une dernière fois d’obtenir des aveux en confrontant Dorante à sa maladresse dans deux exclamations comiques qui réduisent Dorante au rang de valet maladroit : « Voilà qui est écrit tout de travers ! Les ordres à l’impératif qu’elle adresse à son intendant témoignent d’une relation professionnelle hiérarchisée, où Dorante est à son service : « Ne vous embarrassez pas, et écrivez le billet que je vais vous dicter ». Lorsqu’elle dicte la lettre à Dorante, nous remarquons un décalage entre la réplique dite à voix haute et celle prononcée à part : « Votre mariage est sûr; Madame veut que je vous l’écrive, et vous attend pour vous le dire.» (A part.) En effet, la promesse de mariage s’adresse apparemment au Comte, mais le spectateur comprend qu’Araminte adresse ces mots de façon détournée à Dorante. » (l 15), « Avez-vous écrit ? Les Fausses confidences, acte II scène 15, Les Fausses confidences, acte III scène 1, Les Fausses confidences, acte III scène 9, Les Fausses confidences, acte III scène 8, Les Fausses confidences, acte III scène 12, Les Fausses confidences, acte III scène 13, La technique INCONTOURNABLE pour faire décoller tes notes en commentaire. En quoi la manigance de Dubois éveille-t-elle l’intérêt d’Araminte ? Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. Le passé composé exprime une action révolue, soulignant la désillusion de l’intendant. Or Dorante s’exclame, contestant la pertinence de l’adjectif : « Douteux, il ne l’est point. Araminte espérait en effet une confession plus franche. Pourtant, elle a revêtu un masque et joue un personnage qu’elle n’est pas. Sa perte de maîtrise langagière constitue une perte de pouvoir.